Mode by Manesse (épisode 3)

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Podcast mode by Manesse épisode 3 sur l’actualité du monde de la mode. Cette émission audio sera disponible chaque jeudi sur le site web de Manesse ainsi que sur la page Spotify dédiée.

Pour cette semaine les thèmes abordés sont :

Conseil d’entretien pour un de vos vêtements
Simon Porte Jacquemus réagit à la présence de Marine le Pen au second tour
Le tissage traditionnel des saris de Varanasi ne tient plus qu’à un fil
Le plus grand vide dressing à Marseille en Avril avec Violette Sauvage

A noter une pause d’une petite semaine. Il n’y aura donc pas de podcast la semaine prochaine.
Nous vous remercions pour votre écoute et passez une bonne semaine !

 

    1. Conseil d’entretien pour un de vos vêtements

Nous allons évoquer un conseil d’entretien pour le jean. Certaines pièces, même « de qualité » ont tendance à perdre leurs couleurs et à s’user au fil des lavages. La toile denim est un tissu particulier, très différent de la toile d’un autre pantalon.

Il faut le laver le moins possible. Vous pouvez le faire toutes les 6 ou 7 utilisations pour le débarrasser des microbes et germes qui se développent sur le tissu au bout d’un certain temps. Il est également conseillé de le retourner lors du lavage en machine, et ce, qu’il soit brut, noir ou indigo. 

Enfin, autre petite astuce pour fixer la couleur de votre denim plus longtemps : lui faire prendre un bain !

    2. Simon Porte Jacquemus réagit à la présence de Marine le Pen au second tour

Ce dimanche 10 avril 2022, à 20h, les résultats du premier tour de l’élection présidentielle sont tombés. Résultat ? Tout comme en 2017, Emmanuel Macron arrive en tête (27,60 %), devant Marine Le Pen (23,41 %).

Mais dans le monde de la mode, ce résultat ne satisfait pas tout le monde. C’est le cas de Simon Porte Jacquemus. L’homme de 32 ans a en effet partagé un cliché de Marine Le Pen via sa story Instagram. Une publication qui n’est pas un soutien affiché à la candidate du Rassemblement National car le styliste français a légendé son post avec un émoji… en train de vomir !

Olivier Rousteing, styliste français à la tête de la maison Balmain depuis 10 ans, n’a quant à lui pas hésité à partager une photo d’Emmanuel Macron sur Instagram ! Un cliché que le meilleur ami de Kim Kardashian a légendé ainsi. « Cette photo est le portrait de l’homme, qui je souhaite, être notre président pour nos futures années. L’homme qui portera notre pays vers la splendeur et non la peur. Je ne suis pas ici pour imposer un choix politique, mais pour rappeler que l’union fait la force et non la division. Je ne veux pas vivre dans un pays gouverné par l’extrême. »

      3. Le tissage traditionnel des saris de Varanasi ne tient plus qu’à un fil

Je vais vous raconter l’histoire d’un métier qui tend à se perdre depuis la pandémie et la fin du confinement. Il s’agit de l’histoire de Mohammad Sirajuddin, 65 ans, est l’un des derniers tisserands de Varanasi sur des métiers à tisser à bras, des saris en soie, vêtement féminin traditionnel de l’Inde.

Un nouvel exemple de l’industrialisation des processus. Un sari conçu par ce monsieur, orné d’une bordure de « zari » (fil) doré et d’un motif floral met plusieurs jours a être confectionné du à la complexité des parures et engrange une certaine pénibilité du travail. se vendra pour la somme de 30.000 roupies (environ 390 dollars), mais après les ristournes accordées aux intermédiaires et la déduction des coûts de fabrication, il peinera à empocher un bénéfice.

De l’autre côté nous avons un sari fabriqué sur un métier à tisser mécanique, coûte généralement entre 5.000 et 10.000 roupies (130 dollars) mais la qualité du fil de soie est moindre et plus clinquante.

Le doyen indique « Ils (les Chinois) copient les saris de Vanarasi depuis déjà un certain temps. La Chine a pris le dessus sur Banarasi, son commerce et sa production de saris ». En effet le mode de fabrication par métier à tisser mécanique est jugé plus rapides et moins éreintants à l’usage..

Mais le tisserand ne perds pas espoir en indiquant. « Ceux qui connaissent la valeur du tissage manuel continueront d’acheter et de chérir nos saris les métiers à tisser traditionnels seront moins employés mais ils ne disparaîtront jamais ». Si la clientèle aisée de connaisseurs continue de rechercher les saris artisanaux du cru, elle tend toutefois à se raréfier dans le contexte économique actuel post-pandémie.

     4. Le plus grand vide dressing à Marseille en Avril avec Violette Sauvage

Du 21 au 24 avril, les Terrasses du Port offre un terrain de jeu parfait à l’équipe de Violette Sauvage et sa passion pour le slow-fashion et à la seconde main trendy. L’entrée sera gratuite.

Venez visiter l’univers Manesse.

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